Amaimon

Prénom : Amaimon

Age : Plus que vous, peut être...

Famille _: Mephisto Pheles mon grand frère, Satan mon père, Rin et Yukio (demis-frères)

Rôle :Démon

Pouvoirs/Armes : Provoque des tremblements de terres, Behemoth (familier) etc...
Aime : Les sucreries, jouer (Battre, tuer etc...), Behemoth et mon grand frère...

Aime pas : Perdre, s'ennuyer et qu'on se moque de moi....

Physique : Je suis de taille moyenne, avoisinant le mètre soixante-quinze pour être
exact, pour soixante-trois petits kilos. Une corpulence moyenne, même
fine, des traits quelque peu androgynes et un regard perpétuellement
neutre, je suis assez beau dans mon genre. Bon, après il faut aimer le
vert sombre de mes cheveux, mes oreilles pointues, mes – très – longs
ongles noirs et mes sourcils quelques peu raccourcis, sans oublier ma
queue de démon constamment cachée sous mes vêtements.

J’ai un
style assez étrange, selon les humains. Des vêtements gothiques-punks
tout en restant un peu rétro, une cravate jaune striée de bandes vieil
or, des mitaines vertes terriblement haute, des bottes noires au bout
remonté en direction du ciel. Un style normal à Géhenne. Sur Assiah, par
contre, ça a son petit effet. Les humains croient que je fais du
cosplay – bien que je ne comprenne pas vraiment le sens de cette…étrange
coutume japonaise. Ils sont fou ces humains. Et quand ce n’est pas du
cosplay, selon eux, c’est que je suis sataniste. Ils n’ont pas tout à
fait tort.

Comme je l’ai dit précédemment, dans les surnoms, en
plus du glorieux « Earth King », j’ai droit à quelques sobriquets dont
je pourrais bien me passer. Et tout ça parce que mes cheveux vert
bouteille gênent. Surtout ce que les autres considèrent comme étant un
épi géant à l’arrière de mon crâne, d’un vert plus clair. Ça me donne
un teint maladif, presque de légume… Un peu comme un poireau, selon
certains. Je suis pâle, certes. Mais je suis pourtant bien portant. Au
mieux de ma forme même. Mes paupières mi-closes et mes cernes montrent
peut-être le contraire, mais regardez donc mes yeux ! Bleus, enfin
quelque chose de « normal » selon les humains, et absolument pas
larmoyant ou je-ne-sais-quelle-autre-stupidité qui pourrait illustrer
une quelconque maladie. Au contraire. Je vous l’ai dit, je ne suis pas
souffreteux ni rien. Mais que vous me croyez ou non, je n’en ai
strictement rien à faire.

Je ne suis pas très expressif, vous
n’allez pas voir mon visage se fendre d’un sourire éclatant et stupide
comme un gamin pour rien. Au mieux, je vais sourire simplement
d’amusement, ou intérêt, ça dépend du point de vue, et ouvrir d’avantage
les yeux. Au pire, j’ai les yeux grands ouverts, cogne et beugle. Mais
ça, ce n’est que lors de certaines circonstances. Sinon, je
suis...Blasé, blasé, blasé, ou encore blasé. Puis blasé, aussi. J’vous
avais dit que j’avais l’air blasé ?

Sous mes vêtements,
évidement, y’a mon corps. Fin, mais musclé et robuste. C’est la moindre
des choses, lorsqu’on est un démon d’apparence humaine. Et puis, s’il
n’était pas robuste et vif, comment mon corps pourrait supporter ma
force et ma vitesse ? Je suis un Roi Démoniaque, après tout.

Caractère : Un rien m’ennuie. Je suis perpétuellement en quête de quelque chose
d’amusant. Un nouveau jeu, quel qu’il soit, tant qu’il me semble bon, me
suffit. Du moins, jusqu’à ce que je me lasse. Et je me lasse très vite.
Par contre, il y a une chose qui ne m’ennuie jamais : les sucreries.
J’aime, j’adore, j’idolâtre ces délicieux mets sucrés et doux ! C’est ma
drogue, avec l’overdose et l’effet « stone » en moins.

Bon,
j’ai tout de même quelques passe-temps sur Assiah : visiter le « Japon »
que Grand Frère semble tant aimer, et trouver tous les goodies et
autres artefacts étranges de ce genre. Puis je les lui ramène. Ses
réactions sont toujours intéressantes, mais parfois prévisible. A la
longue, je sais ce qui lui fait plaisir, et ce qui l’énerve. Mais bon,
en échange de ces petits souvenirs de mes escapades – sans sa permission
- au pays du « Soleil Levant », j’ai le droit de jouer avec quelques
êtres de son école, la Croix-Vraie. Plus particulièrement avec Rin
Okumura, notre jeune demi-frère bâtard. Il a les pouvoirs de notre père,
c’est vrai. Mais il est faible, et tellement pathétique. J’ai beaucoup
de mal à comprendre l’intérêt que Grand Frère et Père lui portent, ce
n’est pourtant pas faute d’essayer de le tester… S’il pouvait mourir, ça
serait tellement plus simple. Mais Grand Frère ne veut pas que je le
tue. Dommage. Ce n’est pas comme ça aurait été une grande perte, après
tout.

C’est vrai ! Il est demi-humain, après tout. Un sous-démon,
avec l’honneur de compter dans la lignée de Satan. Mais il se contente
de vivre avec des humains, dans une école faite pour tuer ses
semblables. Quoique non. Il n’a rien à voir avec nous, les démons. Il
n’est ni humain, ni démon. Ce n’est qu’un monstre que Père s’est amusé à
créer voilà quinze ans.

Autre chose que j’ai du mal à
comprendre, c’est que Grand Frère veuille rester sur Assiah. Ça fait
tout de même deux cent ans qu’il semble aider les humains, sans jamais
revenir à Géhenne. Est-ce un nouveau jeu ? Une lubie ? Une traitrise ?
Que manigance-t-il ? Je n’en sais rien. Tout ce que j’en pense, c’est
qu’il aurait mieux fait de revenir chez nous, auprès de Père. Les
humains sont ennuyeux, meurent en un coup, sont stupides, inutiles,
capricieux et pitoyables. Ils sont relativement intelligents, et savent
inventer bien des choses. Mais c’est tout. Ils n’ont aucun intérêt.
Qu’ils vivent ou meurent n’a aucune importance, même si mon sang de
démon boue à leur vue, et que j’ai une très grande soif de sang et de
meurtre. Qu’ils soient là ou non importe peu. De toute façon, je ne peux
pas jouer longtemps avec un humain, il meurt trop vite. C’est beaucoup
plus marrant de me battre et d’éliminer des démons plutôt que des
humains. Ça fait plus de sport, et m’offre un grand coup d’adrénaline.
Oui, les démons c’est le bien. Et si je ne me bats pas avec, je les
laisse. Ce n’est pas comme si on manquait de divertissement à Géhenne.
Dès qu’un combat se termine, un autre commence. J’aime bien les observer
s’entre-tuer, mon petit Béhémoth en laisse à mes côtés. Béhémoth, qui
s’est ? Mon démon de compagnie. Un petit gobelin tout rond, tout vert,
qui m’obéit au doigt et à l’œil. Ce n’est pas comme s’il avait le choix,
après tout.

Bref. Je ne suis jamais vraiment de mauvaise humeur,
sauf quand on m’empêche de m’amuser. Comme à la forêt Chuchi où Grand
Frère a interrompu ma petite…Rixe avec Onii-san. Pauvre Grand Frère. Il y
a pris un joli et délicat – notez ici l’ironie – poing de ma part. Il a
volé, mais n’avait visiblement rien senti. Bref. Sinon, je suis assez
calme, et j’ai confiance en mes capacités. Je le répète, mais si je suis
un Roi Démoniaque, ce n’est pas pour rien. Donc, je disais. Assez
calme, oui, mais lorsque je tombe sur un adversaire assez puissant, je
deviens plus espiègle – déjà que je le suis pas mal, c’est dire – et je
ne prends rien au sérieux. Ce n’est pas comme si quiconque pouvait me
faire peur – sauf Père – surtout en combat. Je suis fort, j’ai déjà
acquis beaucoup d’expérience et je continue d’en gagner à chaque bon
combat. Je suis donc un « guerrier » aguerrie, on va dire. Un guerrier
qui n’aime pas être ignoré, et qui aime encore moins voir son honneur
bafoué. Je suis certes assez étrange aux yeux de beaucoup, démons comme
humains, mais je n’apprécie vraiment pas qu’on se moque de moi.
Histoire :Ma biographie n’est pas à proprement parlé importante. Je suis un des
enfants de Satan, le petit frère de Mephisto, ainsi que le demi-frère de
Rin. Mais ça, vous le saviez déjà.

Ma vie à Géhenne n’est pas
vraiment intéressante. Et surtout, elle ne vous regarde pas. Donc
concentrons-nous sur ce que j’ai fait sur Assiah jusqu’à présent. Grand
Frère, jugeant que l’intervention de Neigaiuz n’était satisfaisante pour
tester Onii-san, m’a appelé, et m’a demandé de venir à l’académie de la
Croix-Vraie, arguant que Neigaiuz allait me guider. Il faut dire que
son école est un véritable labyrinthe, pour peu qu’on puisse passer la
protection anti-démon que Grand Frère a installé. J’ai accepté de venir.
Après tout, je trouvais que ça aurait fait un bon passe-temps.

Une
fois infiltré, avec Grand Frère, nous avons commencé notre observation
de Rin. J’avais déjà entendu parler de lui, je savais déjà ce qu’il est.
Mais je ne l’avais encore jamais vu. La première fois que j’ai pu voir à
quoi il ressemblait, c’était lorsque le familier de Shiro Fujimoto, le
précédent Paladin, s’est attaqué aux Gardiens de l’école. Onii-san, pour
éviter d’être découvert, je crois, a préféré utiliser sa tête plutôt
que ses pouvoirs démoniaques. D’où le coup-de-boule au chat géant. Ce
petit incident étant résolu, Grand Frère m’a demandé mon avis. Que
pouvais-je lui dire ? Rin n’a pas combattu en utilisant tout ce qu’il
avait dans le ventre. Il ne s’est pas lâché, il n’y est pas allé à fond.
Je ne pouvais donc pas le juger. Dans son « infinie bonté », autrement
dit : il était d’accord avec moi, Grand Frère m’a proposé d’aller de
l’avant et de gonfler à bloc mon « adorable » bâtard de petit frère.
Proposition alléchante, mais sans plus. Il me semblait plus utile, et
amusant, d’étudier ce pays que Grand Frère aime tant : le Japon. Il m’a
d’ailleurs prêté la Clé de L’Infini pour que je puisse circuler à mon
aise. Évidemment, elle n’est pas faite pour que je voyage n’importe où…
Mais je suis un démon, je vous rappelle ! Je n’obéis pas tout le temps.
D’où la soudaine croissante de la collection de Grand Frère. Un voyage
très intéressant, je le jure. Les humains sont ennuyeux, mais leurs
créations le sont moins.

Quelques jours plus tard, j’étais de
retour à l’académie. Et, ô joie, la première proposition de Grand Frère,
celle d’aller « motiver » Rin je veux dire, me revint en tête. Ni une
ni deux, j’étais à MephyLand, observant Onii-chan lors de sa première
mission en classe entière. C’était, il faut le reconnaitre, chiant. Il
marchait par-ci par-là avec une blondinette, parlant à tue-tête de
choses que je ne dirais pas tant c’est ennuyeux. Puis ils trouvèrent un
petit fantôme. Certainement celui de leur mission. Ils l’ont suivi un
moment, puis ils ont dû se séparer. La blonde s’est barrée, et Rin
cherchait à joindre Yukio. C’est là que j’entrais en action. Alors qui
patientait au téléphone, je lui pris son arme. On peut dire qu’il l’a
mal prit. Au moins, il a eu la décence de me demander qui j’étais. Je me
suis donc présenté à lui, une sucette à la bouche, nonchalant comme
d’habitude. Puis je me suis amusé à dégainer Koumaken. C’était comique.
J’ouvre, Rin passe en mode « démon ». Je ferme, il redevient humain.
J’ai dû faire ça à cinq ou six reprises, à des rythmes différents.
Vraiment comique. La lame étant une petite « porte » menant à Géhenne,
une fois dégainée elle lui permet d’user de ses pouvoirs. Il n’a pas
apprécié ce petit jeu, et a vainement tenté de m’attaquer, brisant au
passage le cou d’une statue de Grand Frère. Onii-san m’a demandé mon
objectif, pensant certainement que je voulais le ramener auprès de Père.
Je lui ai juste répondu que j’avais du temps libre, et que j’étais donc
venu jouer. Après tout, nous étions dans un parc d’attractions. En un
claquement de doigt, le courant était de retour et le parc fonctionnait
de nouveau. Cela plût à Rin. Alors, sur ma lacée, je lui ai dit que
j’avais aussi étudié quelques jeux nippons. Je l’ai donc provoqué à coup
de « Onii-san, de ce côté ! Attrape-moi si tu peux ! », le tout doublé
d’une jolie petite chorégraphie et sur le ton d’une chansonnette. Il m’a
attaqué. Il n’a vraiment aucun humour, cet Onii-san ! Mais bon, c’était
amusant. Je lui racontais ma vie, il essayait de m’attraper pour me
tordre le cou et récupérer son épée. Il essayait parfois d’éviter les
quelques attractions que je lui présentais en sautant, par exemple. Ce à
quoi j’ai répondu que je connaissais aussi ce jeu. Une pichenette, et
Onii-san tombait violemment du haut des Montagnes Russes. Durant sa
chute, je l’ai roué de coups, lui demandant au passage pourquoi Père et
Grand Frère étaient autant obsédés par lui. Il ne m’a pas répondu. ‘faut
dire qu’il n’était plus vraiment en état de le faire. Puis il «
disjoncta » et m’envoya voler. Ainsi il éveilla un peu plus mon intérêt.
Pour faire bref, il m’a ensuite sauté au cou et tenté de m’étrangler.
Quelle bonne blague. Il m’amusait un peu plus, alors d’un coup de poing,
j’ai provoqué un tremblement de terre pour le déstabiliser et
contre-attaquer. Mais, à cause de débris des Montagnes Russes qui
risquaient de tuer la blondinette, il s’est désintéressé de moi et a
vidé le peu d’énergie et de colère qui lui restait pour la protéger. Il
m’ennuyait à nouveau, alors j’ai voulu briser Koumaken. Mais un type
bizarre est intervenu. Ça m’a saoulé. J’ai rendu l’arme, et j’me suis
barré. Le soir même, alors que je m’amusais tranquillement à espionner
les conversations de Grand Frère depuis le plafond. Ainsi, celui que je
prenais pour un mec n’était autre qu’une certaine « Shura ». Too bad for
Big Bro’, elle ne lui fait absolument pas confiance~ Chose que je lui
ai fait remarquer avec tout le tact dont je suis capable. En retour,
j’ai eu droit à une engueulade à propos de sa statue décapitée.

Quelques
jours après, alors que je mettais en place un nouveau jeu à tester avec
Onii-san sous les instructions de Grand Frère, l’épéiste-rabat-joie
ainsi que le jumeau de Rin ont embarqué toute la classe de celui-ci dans
la forêt Chuchi. Ô joie, comme quoi que cette rabat-joie peut m’être
utile parfois. Juste le bon timing, et au bon endroit. Pour résumer,
Shura leur a imposé une sorte de test, ou d’entrainement, je sais plus
trop. J’y ai interféré, forçant Onii-san à se montrer sous sa vraie
forme devant ses « amis » après l’avoir provoqué en essayant de faire de
sa blonde ma femme, puis en voulant offrir quelques parties de son
corps à une de mes cousines. Mais, alors que je m’amusais vraiment, plus
que depuis certains jours, Grand Frère est intervenu. Ça m’a mis hors
de moi, au point que je l’ai frappé. Il a contre-attaqué en m’enfermant
dans la Kuchen Cuckoo House et m’envoyant loin de la forêt.

Une
fois de plus, Grand Frère m’en a voulu. Une fois de plus, il m’a
reproché mon comportement un peu trop destructeur à son goût. Du coup,
pendant un bon moment il ne m’a plus rien dit au sujet de Rin… De ce
fait, je dois maintenant aller me renseigner de moi-même. Ce qui
arrivera désormais ? Vous verrez bien.